Définition permettre
Illustration(s) et photo(s) pour définir le mot permettre
Citations
Conjugaison
Synonymes
Définition
Permettre (Verbe)
Transitif
- Autoriser à faire usage d’une chose.
- Tolérer.
- Donner le moyen, la commodité, le loisir, etc., en parlant des choses.
Transitif
- Se donner la licence de faire des choses dont on devrait s’abstenir.
Informations complémentaires
Le verbe permettre exprime l'idée d'autoriser, de rendre possible ou de donner les moyens d’accomplir une action. Il implique souvent une relation entre un agent qui détient un pouvoir ou une capacité et un bénéficiaire qui reçoit cette autorisation ou cette opportunité. Son usage est omniprésent dans la langue française, couvrant des domaines variés tels que le droit, la gestion, la technique, l’éducation et la vie quotidienne. En donnant accès à une possibilité, il joue un rôle clé dans l’expression des capacités, des permissions et des conditions de réalisation.
Dans son sens le plus courant, permettre signifie donner à quelqu’un l’autorisation de faire quelque chose. Il peut s’agir d’une autorité formelle, comme un gouvernement qui permet la construction d’un projet ou un professeur qui permet à un élève de poser une question. Mais il peut aussi exprimer une permission informelle dans la vie quotidienne, comme un parent qui permet à son enfant de sortir avec ses amis. L’idée d’une relation d’autorisation est centrale, marquant une hiérarchie implicite entre celui qui donne l’autorisation et celui qui la reçoit.
Au-delà de la simple autorisation, permettre signifie aussi rendre quelque chose possible, souvent grâce à une condition préalable. Par exemple, on peut dire que « la technologie permet de communiquer instantanément à travers le monde », ce qui signifie qu’elle rend cette action réalisable. Dans ce sens, le verbe met en avant un facteur facilitateur, un élément qui ouvre la voie à une action ou à un changement. Il est souvent utilisé dans des contextes liés aux progrès scientifiques, aux innovations techniques ou aux stratégies d’amélioration.
Le verbe permettre est également très utilisé pour exprimer la capacité ou la possibilité d’accomplir une action. Lorsqu’on dit que « ses économies lui permettent d’acheter une maison », on souligne que la condition financière rend l’achat réalisable. Cet usage montre à quel point permettre est un verbe qui relie une cause à un effet, mettant en avant les conditions nécessaires pour qu’une action se produise. Il est ainsi souvent associé à des contextes où les moyens, les ressources ou les compétences sont des éléments déterminants.
En grammaire et en syntaxe, permettre est un verbe transitif qui introduit un complément d’objet direct ou une proposition subordonnée. Il est souvent suivi de de + infinitif, comme dans « cela permet de mieux comprendre le sujet ». Cette construction est essentielle pour exprimer ce qui est rendu possible ou autorisé par une condition donnée. Sa conjugaison irrégulière le classe parmi les verbes du troisième groupe, avec des formes spécifiques comme je permets, il permet, nous permettons, ils permettent et son participe passé permis.
Dans le domaine juridique et administratif, permettre prend une dimension plus formelle, évoquant les réglementations et les cadres légaux qui définissent ce qui est autorisé ou interdit. Un permis de conduire permet de circuler librement sur la route, un visa permet de séjourner dans un pays, et une loi permet ou interdit certaines pratiques. Ce verbe joue ainsi un rôle clé dans la structuration des droits et des libertés, en établissant des conditions qui régissent les actions des individus et des organisations.
Enfin, permettre est un verbe qui exprime une dynamique d’ouverture et d’opportunité. Il est au cœur de nombreuses discussions sur l’accès aux ressources, l’égalité des chances et l’autonomisation des individus. Dire qu’un programme éducatif permet aux jeunes d’acquérir des compétences, ou qu’une politique économique permet la création d’emplois, revient à souligner un effet positif et un impact concret sur la vie des personnes concernées. Dans ce sens, il véhicule une notion de progrès et d’évolution, soulignant le rôle des facteurs extérieurs dans la capacité d’action.
Ainsi, le verbe permettre incarne à la fois l’idée d’autorisation, de possibilité et de condition facilitatrice. Il relie les actions aux circonstances qui les rendent réalisables, jouant un rôle essentiel dans la structuration du langage et des interactions sociales. Qu’il s’agisse de législation, de capacités personnelles, d’innovation ou de progrès, il exprime un rapport fondamental entre ce qui est faisable et les moyens d’y parvenir.
Dans son sens le plus courant, permettre signifie donner à quelqu’un l’autorisation de faire quelque chose. Il peut s’agir d’une autorité formelle, comme un gouvernement qui permet la construction d’un projet ou un professeur qui permet à un élève de poser une question. Mais il peut aussi exprimer une permission informelle dans la vie quotidienne, comme un parent qui permet à son enfant de sortir avec ses amis. L’idée d’une relation d’autorisation est centrale, marquant une hiérarchie implicite entre celui qui donne l’autorisation et celui qui la reçoit.
Au-delà de la simple autorisation, permettre signifie aussi rendre quelque chose possible, souvent grâce à une condition préalable. Par exemple, on peut dire que « la technologie permet de communiquer instantanément à travers le monde », ce qui signifie qu’elle rend cette action réalisable. Dans ce sens, le verbe met en avant un facteur facilitateur, un élément qui ouvre la voie à une action ou à un changement. Il est souvent utilisé dans des contextes liés aux progrès scientifiques, aux innovations techniques ou aux stratégies d’amélioration.
Le verbe permettre est également très utilisé pour exprimer la capacité ou la possibilité d’accomplir une action. Lorsqu’on dit que « ses économies lui permettent d’acheter une maison », on souligne que la condition financière rend l’achat réalisable. Cet usage montre à quel point permettre est un verbe qui relie une cause à un effet, mettant en avant les conditions nécessaires pour qu’une action se produise. Il est ainsi souvent associé à des contextes où les moyens, les ressources ou les compétences sont des éléments déterminants.
En grammaire et en syntaxe, permettre est un verbe transitif qui introduit un complément d’objet direct ou une proposition subordonnée. Il est souvent suivi de de + infinitif, comme dans « cela permet de mieux comprendre le sujet ». Cette construction est essentielle pour exprimer ce qui est rendu possible ou autorisé par une condition donnée. Sa conjugaison irrégulière le classe parmi les verbes du troisième groupe, avec des formes spécifiques comme je permets, il permet, nous permettons, ils permettent et son participe passé permis.
Dans le domaine juridique et administratif, permettre prend une dimension plus formelle, évoquant les réglementations et les cadres légaux qui définissent ce qui est autorisé ou interdit. Un permis de conduire permet de circuler librement sur la route, un visa permet de séjourner dans un pays, et une loi permet ou interdit certaines pratiques. Ce verbe joue ainsi un rôle clé dans la structuration des droits et des libertés, en établissant des conditions qui régissent les actions des individus et des organisations.
Enfin, permettre est un verbe qui exprime une dynamique d’ouverture et d’opportunité. Il est au cœur de nombreuses discussions sur l’accès aux ressources, l’égalité des chances et l’autonomisation des individus. Dire qu’un programme éducatif permet aux jeunes d’acquérir des compétences, ou qu’une politique économique permet la création d’emplois, revient à souligner un effet positif et un impact concret sur la vie des personnes concernées. Dans ce sens, il véhicule une notion de progrès et d’évolution, soulignant le rôle des facteurs extérieurs dans la capacité d’action.
Ainsi, le verbe permettre incarne à la fois l’idée d’autorisation, de possibilité et de condition facilitatrice. Il relie les actions aux circonstances qui les rendent réalisables, jouant un rôle essentiel dans la structuration du langage et des interactions sociales. Qu’il s’agisse de législation, de capacités personnelles, d’innovation ou de progrès, il exprime un rapport fondamental entre ce qui est faisable et les moyens d’y parvenir.